Cette oeuvre témoigne de la rencontre de deux cultures : l’influence de la culture aborigène est manifeste lorsqu’Annie Franklin choisie la vision de haut pour graver l’image serpent, animal fondateur de la mythologie aborigène. En revanche, elle reprend la vision frontale, propre à l’art occidental, pour représenter les autres espèces menacées dont certaines, comme le Kangourou, ne sont connues que sur cette Ile-Continent.
(Ed. 5/45)