Joseph Jurra évoque ici une légende liée au trou d’eau de Ngaminya, non loin de Kiwirrkura, la communauté où il habite. La légende dit qu’un groupe de femmes ancêtres y campèrent pour ramasser des petites baies et couper des racines d’arbres comestibles.
De cette histoire, dont les nombreuses péripéties ne sont connues que des initiés, ne restent que ces formes carrées qui s’emboîtent à l’infini et symbolisent les sites devenus sacrés sur lesquels les femmes se sont arrêtées pour célébrer des cérémonies.